Expert, police scientifique, pas un jour ne se passe sans que l’on entende ces mots ou que l’on apprenne qu’une affaire criminelle, récente ou ancienne, vient d’être résolue par une analyse ADN ou par une autre discipline de la criminalistique. Mais l’empreinte génétique a été découverte en 1984 par un scientifique anglais. Alors comment faisaient les pionniers de la police scientifique pour confondre les criminels grâce aux traces de sang ? Par l’odeur ? Comment des traces de peinture ou des fibres textiles peuvent conduire un criminel en prison ? Ce livre, mêlant affaires criminelles et science va vous permettre de découvrir comment les premiers experts interprétaient les indices pour élucider ces crimes. Vous verrez que leurs talents n’a rien à envier à celui des experts du petit écran, qu’ils soient de Las Vegas ou de Miami. Philippe Marion est chef de la section Physique-Chimie au laboratoire de police scientifique de Lille du Service National de la Police Scientifique. Docteur en Sciences spécialisé en Chimie organique, il est également intervenant à l’Université Polytechnique des Hauts-de-France. Philippe MARION, 60 ans est ingénieur en chef de police scientifique et chef de la section chimie du laboratoire de police scientifique de Lille du Service National de Police Scientifique. Depuis plus de 28 ans, il mêle ses deux passions : la science et les affaires criminelles. En 2018, en parallèle de son activité, il commence à écrire sur l’histoire de la police scientifique. Son projet est de raconter les débuts et les développements des grandes disciplines de la police scientifique.