Ce livre retrace la brève et tumultueuse vie de Michael von der Goltz, baron, docteur en philosophie, torero et journaliste, né en 1946 à Lucerne et mort de façon suspecte en 1992, sur l’île d’Elbe.
Construit à partir de témoignages et de documents historiques, ce récit nous fait croiser quantité de personnages tels que la danseuse Blanca Li, l’acteur-réalisateur Jim Jarmusch, le styliste Egon von Fürstenberg, un espion allemand nommé Kukuk, l’éleveur Victorino Martín, d’ex-légionnaires devenus mercenaires, des néofascistes italiens, des généraux boliviens trafiquants de cocaïne et surtout le criminel nazi Klaus Barbie dont Michael von der Goltz s’assura la confiance au risque de sa vie. Grâce à lui, l’opinion publique découvrit le rôle de l’Internationale noire en Amérique latine.
De ce film en accéléré des années 1970 et 80, on retient un sentiment de liberté qui a sans doute disparu et l’idée qu’une vie ne vaut que la vitesse à laquelle on la vit.
Construit à partir de témoignages et de documents historiques, ce récit nous fait croiser quantité de personnages tels que la danseuse Blanca Li, l’acteur-réalisateur Jim Jarmusch, le styliste Egon von Fürstenberg, un espion allemand nommé Kukuk, l’éleveur Victorino Martín, d’ex-légionnaires devenus mercenaires, des néofascistes italiens, des généraux boliviens trafiquants de cocaïne et surtout le criminel nazi Klaus Barbie dont Michael von der Goltz s’assura la confiance au risque de sa vie. Grâce à lui, l’opinion publique découvrit le rôle de l’Internationale noire en Amérique latine.
De ce film en accéléré des années 1970 et 80, on retient un sentiment de liberté qui a sans doute disparu et l’idée qu’une vie ne vaut que la vitesse à laquelle on la vit.