C’est l’histoire d’une poésie qui « panse » tout haut : elle traverse et porte un mouvement au-delà de la chute. Florent Pennuen fait du kinsutgi un principe d’écriture en primitif, une nouvelle alphabétisation de l’altérité. Chez lui l’ombre est lumineuse, la gravité ascensionnelle et l’absente Sainte axe.
Capter les variations du monde, des éléments, en être le récepteur ultra-sensible pour mieux les transmettre. Florent Pennuen écrit, marche, photographie et respire en passeur de mots, en faiseur de relation.