Paris, six heures du matin. Une corvette stationnée non loin d’un immeuble de trois étages, comportant trois fenêtres par niveau. Lumière filtrant au travers des jalousies de l’un des appartements dormant sous les toits. Bruit discret de deux portières que l’on referme. Trois silhouettes. Une porte d’entrée hospitalière, un escalier, un interrupteur et cette plaque « Florent Louiseuil - Photographe d’art » . La garde à vue qui s’annonce permettra-t-elle aux enquêteurs de mettre à jour la véritable personnalité de l’occupant des lieux et de répondre à cette question : « ce sexagénaire manipulateur et pervers a-t-il voulu tuer Marthe ? »