Pourquoi, dans le champ de la GRH, s’intéresser plus particulièrement à Argyris et Schön ? La réponse tient à ce que leur approche accordant une place centrale aux membres de l’organisation et à leurs actions dans le processus d’apprentissage organisationnel, elle est particulièrement stimulante pour tout chercheur qui s’interroge sur les relations entre le travail des individus membres de l’organisation, l’apprentissage de compétences de différents niveaux (individuel, collectif et organisationnel), et les contextes organisationnels qui favorisent ou inhibent ces apprentissages.