Après le roman La Prophétie de Norman Bates, écrit en 2017, David Ghisdal revient avec un recueil de nouvelles. La thématique du temps utilisée dans Le retoucheur de vies en 2013 est remplacée cette fois par celle de la magie des mots, des phrases, et du pouvoir de l’écriture ou de la lecture sur nos vies.
En une dizaine d’histoires, David Ghisdal nous entraîne dans son monde, dans un univers dans lequel le lecteur rencontre, entre autres, un manège magique, un livre prophétique, un miroir surnaturel et quelques ouvrages mystiques.

C’est drôle l’envie d’écrire, de raconter des histoires et de les faire voyager comme on dépose une bouteille dans le lit d’une rivière ; cette envie de réaliser quelque chose, de laisser une trace qui restera après celui qui l’a créée.
Les mots, les situations imaginées transformées en récits, passent de tête en tête, et parfois avec des sentiments ou des ressentis différents. Le film que l’on s’en fait est identique, mais sa musique diffère en fonction de chacun.
Onze nouvelles sans prétention, onze récits écrits avec l’unique envie de divertir quelques minutes, de faire sortir de la réalité si cruelle parfois.
Une réalité faite de joies et de tristesses,
Une réalité faite de bises et de claques,
Une réalité faite de roses et d’épines.