Un parcours de vie, d'une décroissance subie à un décroissance choisie.
Didier, d'obstacle en obstacle, ne lâche rien. Il "pense" et "panse" sa vie.
De choix individuels pour la réussite sociale à la confrontation à un collectif complexe, Didier choisira un Collectif "éclairé" qui choisit les valeurs seules capables d'affronter les défis de demain, le partage, le coopératif, l'Essentiel.
Quatrième de couverture :
Atteindre un état de bonheur, c’est peut-être ne pas laisser trop de place aux sentiments de malheur, à la morosité, à l’envie. Ça ne veut pas dire être indifférent aux autres, non, mais c’est un équilibre, une place à trouver. Autant dire que tu peux passer une bonne partie de ta vie à chercher cette place. L’important, c’est de ne pas s’arrêter, chercher encore et encore, sans pour autant te faire la guerre à toi-même.
Chercher à savoir « qui l’on est » est une œuvre passionnante, à supposer que l’on ne s’arrête pas à « qui on parait » ou à « qui on doit paraître ». Faut-il encore disposer des « bons outils » pour desserrer les liens qui asservissent et reconnaître ceux qui libèrent.
En ce sens, Didier, le « héros » de cette histoire est un « nomade », dans la lignée des « voyageurs immobiles, ceux dont les expériences traversées sculptent le mode de pensée : Didier « pense » et « panse » sa vie.
« C’est quoi un « décroissant » ? – C’est quelqu’un qui a, trop longtemps, exécuté sans réfléchir à l’essentiel, obnubilé par l’accessoire, et qui, désormais place la réflexion avant l’action. Mais une réflexion « globale » sur les aspects toxiques, superficiels, de nos sociétés ultra-libérales, surtout dans ce moment d’urgence climatique ».
La vie n’est pas d’attendre que les orages passent, c’est d’apprendre à danser sous la pluie. Sénèque