Un père, sa fille de huit ans, un golden retriever de 14 mois, une Westfalia et la route à perte de vue, voilà les ingrédients de base de cet ouvrage qui nous fait partager la vie de bohème.
Ce recueil reprend une série d’articles parus dans Le Devoir en 2001 alors que l’auteur était invité à livrer ses impressions de voyage au gré des rencontres sous forme de petites tranches de vie réflexives. À lire ou à relire pour le plaisir de savourer une vision du monde singulière, infiniment sage et lucide.
En compagnie d’Aurélie, sa fille de huit ans, et de Monsieur Savon, un chien ayant un enthousiasme débordant à la vue de tout ce qui bouge, Jean Pierre Girard nous entraîne à sa suite dans une mission de « bourlinguage » professionnel avec Capucine, la très fidèle Westfalia. Chaque texte est accompagné d’une Perle d’Au. – réflexion spécifique à Aurélie – et d’une section Les Anges de la route qui rend compte d’une rencontre particulière au cours du voyage. Il y a aussi Les derniers mots de Dieu, sorte d’invitation aux lecteurs du Devoir à imaginer quelles pourraient être ses dernières paroles. Le tout comprend huit textes tous plus savoureux les uns que les autres et qui vous feront sûrement sourire.