Faisant suite à la description générale de ce que représente la Préhistoire nouvelle, ce tome s’attaque à ce qui a, de toujours, rebuté les chercheurs de toutes les disciplines la concernant, c’est-à-dire l’impossible. Mais comme les Sciences évoluent, les problèmes rencontrés finissent par trouver des solutions (ou des embryons) : les super-déluges, la remontée des eaux de 120 à 130 mètres, la plaque de Nazca qui fait remonter la cordillère des Andes, etc. Les Sciences grignotent l’Inconnu jusqu’à se trouver en face de problèmes franchement insolubles. A moins de faire appel aux Martiens, il ne reste plus à l’humain qu’à admettre la présence fort ancienne d’élites qui ont eu des connaissances supérieures à ce que nous savons aujourd’hui.
Ces connaissances, les élites les ont transportées avec elles grâce à l’écriture et à la langue : il en reste des résultats qui n’ont pas besoin de commentaires, mais qui sont toujours à l’étude, j’appelle ainsi la Grande Pyramide et d’autres exemples sur toute la planète, que j’ai pris le temps de consulter dans tous les pays et qui feront les monographies des tomes suivants. J’ai dégrossi ces problèmes, mais il y en a tant et tant à dire... que j’en ai reportés sur les pays touchés. Ami lecteur, allez jusqu’au bout, il y a toujours des surprises qui vous attendent au coin d’une page !